Ce qui marque chez Olivier gicqueau, ce n’est non exclusivement la renommée de ses levée. C’est la style avec laquelle il les transmet. Il n’y a pas d’effet. Pas de mise en scène. Pas d’habillage religieux. Ce qu’il dit, il le amené librement, mais cette pureté est fabriqué avec une puissance exceptionnel. C’est cela qui est qu’on se souvient longtemps d’un liaison, même bref. La voyance immédiate ne laisse pas le vies de méditer ou de faire attention. Elle va droit au échelon sensible. Et si ce que perçoit est ironie aligné, cela est en capacité de blesser ou dériver. Mais si ce que perçoit est, comme par exemple Olivier, à la fois régulier et éthique, alors la note s'affiche un obligeance. Elle ne cherche pas à convaincre. Elle vient utiliser des éléments qui peut changer la allée. Et quand on raccroche, ce n’est pas seulement qu’on a “eu une réponse”. C’est qu’on a changé de place intérieurement. On respire en empruntant une autre voie. On sent qu’un moyeu fut retrouvé. Et on a cela, au fond, le talent de cette voyance immédiate quand elle est préférable pratiquée : non pas d’avoir tout amené, mais d’avoir ouvert la seule brèche qui comptait. Voyance Olivier n’a absolument aucun besoin de vous arrêter. Il n’insiste pas. Il ne dramatise rien. Il ne vous raconte pas ce que vous voulez incliner. Il vous dit ce qu’il ressent, même si c’est fragile, même si c’est nu. Et dans un système saturé de bruit, cette parole nue est parfois la seule étape qui remet du significations. Elle ne vous apporte pas votre réponse parfaite. Elle vous redonne votre positionnement intérieur. Elle vous redonne la coeur. Et dans une rapidité intérieure, cela vaut bien davantage qu’un long discours. C’est une sorte d’intelligence indisctinct, que brin de patients savent augmenter dans l’instant. Olivier gicqueau le acte, non parce qu’il a fêté à le produire, mais parce qu’il est génial pour cela. Sa voyance immédiate est vivante, excuse, toujours centrée sur ce qui est juste maintenant — pas demain, pas en représentation. Et cette justesse-là, quand elle obtient l’instant soigné où l’on en a besoin, pourrait suffire prohibés un faux pas. À redonner du souffle. Ou simplement à imprimer le réel à vie.

Elle n’avait pas prévu d’appeler ce jour-là. Tout semblait par-dessous contrôle, du moins en surface. Pourtant, des éléments avait changé depuis six ou sept heures. Un sensation flou, presque indécelable, avait commencé à la parier. Ce n’était pas une trac, ni une panique. Plutôt une pression interne, comme par exemple si son bagage cognait à la porte, sans qu’elle sache exactement ce qu’elle désirait lui dire. Alors, elle avait ouvert son téléphone, presque automatiquement, sans véritablement réfléchir. Elle était tombée sur un formulaire qu’elle connaissait déjà de prénom, mais qu’elle n’avait jamais osé appliquer. Voyance Olivier. Elle avait sûr assembler d’Olivier gicqueau, de son caractère direct, de sa de type de réagir sans raccourci. Ce jour-là, ce n’est pas une note régulée qu’elle cherchait. C’était une instruction tout de suite. Une voyance immédiate, mais pas bâclée. Quelque chose de efficace, qui vient sans aviser, mais tombe au agréable endroit. En associant le numéro, elle ne savait pas indubitablement quelle point formuler. Elle savait tout de suite qu’elle ne pouvait plus entraîner par exemple si de rien n’était. Ce qui s’est passé ensuite, elle s’en souviendra longtemps. La paroles à l’autre terme du fil n’a posé qu’une seule position : “Vous verrez que on voyance olivier a dare-dare, on a ça ? ” Elle n’a rien présenté d’autre. Ce n’était pas une problématique fermée. C’était une identification. Comme si une personne avait entendu ce qu’elle n’arrivait pas à formuler. C’est ça, la voyance immédiate dans sa forme la plus remarquable : non pas une communication fiable, mais un contact en vis à vis, sans louvoiement, sans préambule, où quelqu’un entre dans ce que vous végétez sans que vous ayez eu à le décrire. Ce jour-là, elle a compris ce que cela désirait dire d’être vraiment répandue. Olivier gicqueau n’a pas parlé longtemps. Mais il a exprimé comme il faut ce qu’il fallait. Pas ce qu’elle désirait se plaire. Ce qu’elle devait prédilectionner. Et dans ces quelques minutes, une réglementation qu’elle repoussait depuis des semaines a pris forme, presque aisément. Pas parce qu’on lui avait formulé quoi produire. Parce que la précision était revenue. Et que parfois, ça suffit.